Actuellement je n’ai pas trop de temps pour m’occuper du blog. Pour le nourrir, je profite des travaux des étudiants. Ils m’apprennent beaucoup de choses et m’en rappellent plein d’autres. Voici, par exemple, un beau passage du Petit Prince que j’avais complètement oublié :
“On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi !” A. De Saint-Exupéry, Le Petit Prince.
Je citerai au passage deux coquilles amusantes liées au grand succès du jargon télématique : « Je site » (à la place de « Je cite ») et, hilarant : Email Durkheim.
Rendons à Auguste ce qui est à Auguste (le clown) : ce n’est pas sur synonyme.com, mais sur synonymo.fr, que l’on trouve votre occurrence avant-gardiste. Les seules femelles auxquelles le site accorde de la noblesse sans ambiguïté furent les patriciennes.
RépondreSupprimerDans des temps anciens comme l’Empire romain, Sylvie Vartan, avec « Comme un garçon », confirmait : « - Pourtant, je ne suis qu’une fille ».
(Je suis irrécupérable, c’était ma chanteuse préférée quand j’étais petite, je me répète sans doute.)
Tout cela ne doit rien enlever à la grandeur du Petit Prince.
Ça marche aussi avec un ragondin ?
RépondreSupprimerPetit Prince, maintenant les gens croient avoir plein d’amis grâce à Facebook.... mais ce sont des amis non apprivoisés, donc pas des amis.
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