Wilder Ness et Oscar Wilde contemplant extasiés la nature sauvage
Juste quatre dernières pépites sorties de mon cours sur l’animalité :
1) Mais l’homme reste un animal par sa virilité, avec ce besoin d’être le dominant du groupe. Par ce comportement le monde a vu naître des nombreuses guerres dignes d’un comportement animalier.
2) De plus, l’agriculture des hommes est mise en danger par les animaux, par exemple les lapins qui font des trous ou bien encore les loups qui mangent les moutons.
3) L’homme et l’animal resteront toujours en lien malgré les convictions de certaines personnes, comme Descartes qui pense que l’animal ne souffre pas, il fait semblant.
4) Wilder Ness a mis en avant le changement de regard face à la nature sauvage, il y a une fascination pour l' animal sauvage.
Drôle d’auteur ce Wilder Ness, peu connu, réservé sans doute, mais très convaincant. À première vue, il s’inscrit dans le courant de René Descola.
J’ai également retrouvé l’expression « bouquet misère » (cf. mon post du 16 décembre 2017 : René Girard et le sacrifice du « bouquet misère »). Cette trouvaille fabuleuse me vient souvent à l'esprit. Elle a le pouvoir de me faire rire même quand je suis de mauvaise humeur.
Et de vous répéter chaque année « mais qu’ai-je bien pu dire ? »… ainsi vous ne voyez pas le temps passer !
RépondreSupprimerNicole Juin
Il ne devait pas être si viril : on dit bien la bataille de LA Wilderness...
RépondreSupprimerÇa dépend de sa nationalité. Il était peut-être canadien.
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