Saint Romedius, inventeur de la notion de Wilderness
Hier c’était la Saint-Nicolas. En dépit de mon esprit critique et désenchanté j’en garde un souvenir enthousiaste. Désormais on parle peu de cet ami des enfants qui fut très à la mode dans les Alpes orientales d'avant la mise en tourisme (et en écologie) des espaces naturels. Il a presque disparu. Et son âne aussi. Dévoré par les loups, je suppose.
Il ne devrait pas tarder à se faire repeindre par des activistes audacieux.
RépondreSupprimerArmelle Sêpa.
Merci. Je dois avouer que cela reste un peu mystérieux.
RépondreSupprimerJe m’en doutais, c’est un peu absurde, puisque vous parlez justement de la disparition de la tradition de la St Nicolas. (Dans certains pays d’Europe c’est néanmoins encore bien fêté).
RépondreSupprimerMais je pensais à une autre absurdité, celle de ces prétendus écologistes qui veulent nous « alerter » en tirant sur l’ambulance.
Ils dégradent ce qui nous reste de charme, comme les chefs d’œuvres de la peinture, (nous avions déjà parlé ici de l’agression sur les Tournesols de Vincent Van Gogh).
Dernièrement, ils se sont attaqués au sapin et au marché de Noël de Strasbourg.
Je crains de me répéter aussi en soulignant qu’ils ne prennent strictement aucun risque, à part celui de rendre la lutte contre le dérèglement climatique très antipathique, et que, ce faisant, ils se rendent même suspects d’être plutôt commandités par les plus gros pollueurs.
Des sortes de green blackblocs qui eux, permettent aux gouvernements de dénier sa légitimité à toute contestation sociale dans la rue, rendue violente.
Je vois. C’était difficile à déduire mais maintenant je comprends. Dans cette même perspective, on pourrait imaginer la naissance d’un mouvement proposant de déboulloner Saint Nicolas e Père Noël en tant qu’exploiteurs de la force animale et emblèmes du rapport de domination, issu du patriarcat, que les humains entretiennent avec les non-humains.
RépondreSupprimerOui, cette fois je me suis bien fait comprendre.
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