Ourse de haute-couture
C'est sûrement un jeu raffiné sur la frontière homme/animal, mais je ne le comprends pas. Je le trouve même moche. Je parle de ces
vitrines où l'on expose des animaux sauvages habillés en grandes dames et en gentlemen*. J'aimerais bien que l'on m'explique leur
message. À chaque fois je pense à ces gastronomes dilettantes qui inventent des
hybrides monstrueux : "l'eau de vie c'est bon, les truffes, c'est
bon, l'eau de vie aux truffes, par conséquent, c'est délicieux" (je connais d'autres versions, tout aussi douteuses, avec les cèpes ou le radicchio rosso de Trevise). L'animal sauvage est beau, le smoking également ... un
ours en smoking est fatalement magnifique".
Je crois avoir déjà traité ce sujet qui, manifestement, m'intrigue.
Si tratta certamente di un gioco raffinato sulla frontiera
che ci separa dagli altri animali, ma stento a capirlo. Le trovo persino di
cattivo gusto. Parlo delle vetrine in cui vengono esposti degli animali
selvatici agghindati come delle
principesse o dei gentlemen. Mi piacerebbe capire il loro messaggio. Ogni volta
penso a quei gastronomi dilettanti che inventano degli ibridi mostruosi :
"la grappa è buona, i tartufi sono buoni, la grappa al tartufo sarà
necessariamente buonissima" (conosco altre versioni, non meno equivoche, con i porcini o il radicchio rosso di Treviso). L'animale selvatico è bello, lo smoking
egualmente ... un orso in smoking è fatalmente stupendo.
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