Enluminure extraite d’Histoire d'Olivier de Castille et d'Artus d'Algarbe, folio 181v
Tous les ans, en France, les collisions avec du
gibier se comptent par dizaines de
milliers. Le citoyen éco-responsable ne peut que regretter cet
énorme gaspillage de protéines nobles. Heureusement il y a un remède. Dans le site de l’Office national de la
biodiversité je viens de lire :
« Que faire d’un animal sauvage trouvé mort ou
blessé dans la nature ? (…) Dans le cas d’une espèce chassable, s’il s’agit
d’un grand gibier, l’automobiliste l’ayant percuté et désirant le transporter
pour sa consommation personnelle, doit impérativement prévenir les services de
la gendarmerie ou de la police nationale ».
Ayant obtempéré aux consignes de l’État, une fois rentré à la maison avec, par exemple, un marcassin, il pourra l’accommoder à la manière suivante **:
Ayant obtempéré aux consignes de l’État, une fois rentré à la maison avec, par exemple, un marcassin, il pourra l’accommoder à la manière suivante **:
** Marcel Butler, La
bonne cuisine pour tous, ou l’art de bien vivre à bon marché, Paris,
Hachette, 1867, p. 110
Pour Noël, je voudrais offrir à tous un cadeau de circonstance : comme cette merveilleuse fête qui veut faire surgir la lumière du cœur des ténèbres, « La guerre des pauvres », pépite d’Eric Vuillard, ne se résigne pas.
RépondreSupprimerQue la lumière avec nous soit !
J'ai la meilleure recette de sanglier du monde, qui m'a été confiée par ma bonne grand-mère, qui ne plaisantait pas avec ces choses-là, et il est absolument hors de question que je vous la donne !
RépondreSupprimerC'est dommage. Moi aussi, en tout cas, je trouve cette recette un peu lourde.
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