Juste un mot
sur l’extracommunautaire qui l’autre jour, dans une petite ville de Toscane,
a rôti un chat sous les yeux de tout le monde dans le but de
le manger. « Pourquoi sommes-nous plus sensibles à la mort d’un chat qu’à
celle d’une vache ? », se demande Anna Mannucci dans un article publié dans le Corriere della sera*. Elle répond : « Le chat, comme le
chien, fait partie de la famille
(c’est elle qui souligne) et nous
avons tous, à l’égard des membres de notre famille, des devoirs différents par
rapport à ceux des autres ».
Le chat toscan, évidemment, ne faisait pas partie de la famille de l’extracommunautaire, qui l'a donc cuisiné.
N'était-ce pas plutôt un lapin de grenier?
RépondreSupprimerTout dépend des taxinomies, en fait. Les lapins de grenier, par ailleus, sont particulièrement savoureux.
RépondreSupprimerTu non hai proprio capito...
RépondreSupprimerNo, è il gatto che, lasciandosi avvicinare, non aveva immaginato.
Supprimer?
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