Peut-on dire d’une plante qu’elle est glauque ? On a le droit, mais c’est discriminatoire. Autre question : est-ce le contexte qui rend glauque une plante ou la plante qui rend glauque le contexte ? J’y pense à un arrêt de train, dans la banlieue parisienne, en regardant des buddleias en train de proliférer. Comme je le documentais dans mon billet du 24 août elles se répandent partout, même dans les hauteurs alpines.
Ce n’est pas bon pour la biodiversité mais c’est du développement durable.
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