Venise, il y a quelques jours. Les goélands ne manquent pas à Campo santa Margherita. Ils attendent impassibles un geste de la part du poissonnier. Je les observe minutieusement, comme si je n’avais jamais vu un goéland. Je compare leur allure à celle de Maurice, qui est un Celte, en cherchant les indices de leur latinité*.
*Maurice est un goéland brestois qui fréquente mon balcon. Il intervient sur ce blog avec une certaine régularité.
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