Il y a quelques
temps, pour limiter le nombre des
grands prédateurs, l'agronome et sociologue Raphaël Larrère suggérait de
modifier leur statut : s'ils devenaient "espèce chassable" ils
seraient gérés par les chasseurs comme le reste du gibier. "Oui", ont rétorqué les amis
des ours et des loups "mais cela ferait plaisir aux chasseurs". Mieux
vaut donc que les carnassiers pullulent.
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