Je pense que c'est
une rumeur, parce que ce serait trop, comment dire ... . Mais il semblerait
qu'en matière de mulets, pendant un long moment, l'armée italienne ait été
presque antispéciste. Chez les chasseurs alpins la vie d'un mulet ne valait pas
moins cher que celle d'un soldat. Lorsque, pour des raisons variables que
j'évoquerai prochainement, un mulet mettait fin à l'existence du soldat qui
l'avait en consigne, on ne s'en débarrassait pas. On se limitait à
le "distinguer" avec un ruban rouge censé marquer sa
dangerosité. Lorsqu'il tuait son deuxième soldat cela devenait plus sérieux.
Penso sia una diceria, perché sarebbe troppo, come dire ... Ma sembra che
in materia di muli, per un lungo periodo, l'esercito italiano abbia mostrato chiare
tendenze animaliste. Tra gli Alpini la vita di un mulo non valeva meno di
quella si un soldato (ma è sicuramente una diceria, ci mancherebbe altro).
Quando, per ragioni varie che evocherò prossimamente, un mulo poneva fine
all'esistenza del soldato che lo aveva in consegna, non veniva rimosso. Ci si
limitava a distinguerlo con un fiocco rosso per indicarne la pericolosità.
Quando uccideva un secondo soldato, la cosa diventava più seria.
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