mercredi 21 septembre 2022

BorderLine. Gardons la distance




Au mois de juillet, à distance  et en toussant un peu, j’ai participé avec liesse à la rencontre que  la Mission Agrobiosciences-Inrae et le Quai des Savoirs ont consacrée aux relations difficiles que nous entretenons avec les autres espèces.  La question était bien posée : où placer ces bestioles qui pullulent partout alors que nous, les humains, nous avons tout colonisé ? Et comment garder la bonne distance? En suivant le débat j’ai appris plein de choses :  par exemple que les macaques rhésus, en s’adaptant à la vie urbaine,  deviennent des maîtres chanteurs (rien de plus humain, finalement). J’ai appris également que ces mêmes macaques ne se comporteraient pas comme ça s’il n’y avait pas les touristes qui donnent le mauvais exemple et altèrent leur comportement typique (c'est comme  chez les habitants des Alpes, Heidi et compagnie,  qui avec l'arrivée des vacanciers sont devenus méconnaissables).  J’ai appris aussi que les ours des Pyrénées posent des problèmes complexes (dans la région de Trente, en revanche,  ils posent des problemi complessi). Je connais finalement le sens des peintures rupestres qui, jusqu’ici, était resté énigmatique.

Je fais le pitre, bien entendu, juste pour ne pas sombrer dans l’académisme et respecter l'esprit de ce blog. Si vous voulez savoir ce qui s’est  vraiment dit, et je vous le conseille, vous n’avez qu’à cliquer sur le lien suivant: 

 

https://www.agrobiosciences.org/animal-116/article/borderline-humains-et-animaux-sauvages-eviter-les-lieux-communs?var_mode=calcul

 

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