Pieter Bruegel : "Jeune dépravé martyrisant des petits oiseaux"*.
"Ce
qu'ethnologues et anthropologues désignent volontiers comme convivialité
festive, m'a toujours paru cher payé - trop cher - en souffrance animale".
Françoise Armengaud, "Au titre du sacrifice : l'exploitation économique,
symbolique et idéologique des animaux", in Boris Cyrulnik, Si les lions pouvaient parler. Essais sur la
condition animale, Paris, Gallimard, 1998, p. 856-887.
Françoise Armengaud
a raison : l'ethnologue met l'accent
sur des détails dérisoires (simples prétextes) et occulte l'essentiel. Il y a
quelques temps j'ai écrit un article sur le piégeage des petits oiseaux. J'aurais dû m'abstenir, j'ai honte de moi.
Comme les sociologues, les ethnologues et anthropologues versent un peu trop volontiers dans la "culture de l'excuse"...
RépondreSupprimer*Peut-être finira-t-il par avoir honte. Sinon, il ira peut-être moins vite au Paradis que Michel Delpech.
RépondreSupprimerRien à voir avec l'article (quoique..), mais connaissez-vous l'artiste Walton Ford?
RépondreSupprimerCe que j'aime chez Walton Ford c'est que ses aquarelles, fortement allégoriques, ne sont pas chargées de messages iréniques (l'harmonie retrouvée au sein de la création ...), ni de sermons écologiquement corrects.
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