Paul Wegener et Carl Boese, Le Golem (1920), (Der Golem : Wie er in die Welt kam)
En se développant, le Golem dépasse son créateur (au sens propre et figuré) et finit par s’autonomiser. Tout jardinier a son Golem. Tout démiurge accueille dans son jardin des créatures de la taille d’une cigarette qui grandissent de façon inattendue et échappent à son contrôle. C’est le cas de mon if. Il a déjà dévoré deux buissons et commence à pomper l’air au noyer novice qui a remplacé le vieux. Et ce n'est qu'un début. D’ici trois mille ans, dans le jardin, il aura tout incorporé ou presque. Pour l'instant, je préfère porter mon attention sur la joie qu'il manifeste d'être avec nous.
Il faut affuter les conditions posées au if. Si personne ne s'en souscie, les marrons ne sont pas prêts d'être cuits!... Hervé A.
RépondreSupprimerC'est bien le problèmr avec les Golems, il faut en avoir conscience.
Supprimer