Je reviens sur l’âne de Saint Nicolas. Oui, parce que c’est facile de se trimbaler à droite et à gauche pour faire des cadeaux. Mais qui les porte tous ces cadeaux, hein, qui les porte ? C’est l’âne. Il faudrait signaler le cas. Ça mériterait un contrôle de l’Inspection générale du travail … Mais que font les associations pour la protection des animaux ?
Et ça vaut aussi pour le Père Noël.
Oh, tant que vous évitez de donner du spritz à cette pauvre bête...
RépondreSupprimerEt pourquoi pas? C'est un commentaire spéciste.
SupprimerC'est à force de raisonner le travail de façon comptable, qu'on a oublié qu'un échange en valait un autre: Tu m'aides à porter ces cadeaux, et je te propose la sécurité du gîte et du couvert! Ce système d'échanges entre animaux de bonne compagnie est renié par les animalistes. Ceux-ci offrent aux frères animaux (sans leur demander leur avis) une vie plus "naturelle", et accessoirement une fin plus "fun" que l'abattoir, garantie par le biais d'un authentique prédateur. Pour revenir à la problématique de l'article, je crois qu'il faut rester lucide: il est donc aujourd'hui éthiquement immoral de s'inspirer de St-Hervé pour remplacer l'âne. Le miracle est-il à attendre venant de St-Amazon?? La légende pâli!...
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