jeudi 10 décembre 2020

Encore sur Saint Nicolas (les dessus peu clairs d’une entreprise philanthropique)

 


Je reviens sur l’âne de Saint Nicolas.  Oui, parce que c’est facile de se trimbaler à droite et à gauche pour faire des cadeaux. Mais qui les porte tous ces cadeaux,  hein,  qui les porte ? C’est l’âne. Il faudrait signaler le cas. Ça mériterait un contrôle de l’Inspection générale du travail … Mais que font les associations pour la protection des animaux ?

Et ça vaut aussi pour le Père Noël.

3 commentaires:

  1. Oh, tant que vous évitez de donner du spritz à cette pauvre bête...

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  2. C'est à force de raisonner le travail de façon comptable, qu'on a oublié qu'un échange en valait un autre: Tu m'aides à porter ces cadeaux, et je te propose la sécurité du gîte et du couvert! Ce système d'échanges entre animaux de bonne compagnie est renié par les animalistes. Ceux-ci offrent aux frères animaux (sans leur demander leur avis) une vie plus "naturelle", et accessoirement une fin plus "fun" que l'abattoir, garantie par le biais d'un authentique prédateur. Pour revenir à la problématique de l'article, je crois qu'il faut rester lucide: il est donc aujourd'hui éthiquement immoral de s'inspirer de St-Hervé pour remplacer l'âne. Le miracle est-il à attendre venant de St-Amazon?? La légende pâli!...

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