J’aimerais continuer avec mon feuilleton estival et, en même temps, je souhaiterais passer quelques jours dans l’inactivité la plus totale. Je reviendrai donc sur les plantes de mon jardin dans une ou deux semaines. Cherchant une image sur laquelle m’arrêter, je suis tombé sur le corollaire inédit d’un autre feuilleton, publié dans ce blog au cours du 2018. Ce feuilleton animalier s’appelle « Une sale bête : l’envie ». Il commence le 31 mai et s’arrête sur le « Corollaire n. 1 » le 31 juillet. J’ai perdu le corollaire numéro 2 (un acte manqué, sans doute) mais j’ai conservé le numéro 3. Qui sait pourquoi, en reportant sa publication je l’avais programmé pour le mois d’août 2021. Par rapport à l’histoire de chiens de chasse qu’il est censé commenter je le trouve énigmatique et quelque peu déphasé, mais je le poste également.
Au moment où vous avez publié ce post biblique, donc énigmatique, je m’interrogeais sur la couronne virale qui s’est abattue sur nous.
RépondreSupprimerParticulièrement sur les vœux pieux du début de la crise de faire de l’éventuel vaccin sauveur un bien de l’humanité.
C’était légitime au moins au niveau comptable : les recherches ont été subventionnées à hauteur de 11 milliards par les USA, 2 milliards par l’UE*, à titre d’exemples.
Ces derniers temps, on prévient qu’une troisième dose sera nécessaire, et ainsi de suite.
Parallèlement, on nous dit que plus on vaccine dans les pays riches, plus les variants se développent dans les pays pauvres, puis refont le tour du monde etc.**
Le lendemain de votre billet on apprenait que Pfizer et Moderna augmentaient leurs tarifs.
(On nous dira : « il faut comprendre ». Oui, je crois comprendre).
*info tirée de : lesechos.fr 28/11/20
**27 juin 2021 TV5 Monde
Interview de Anne Sénéquier. Co-directrice observatoire de la santé a l'IRIS -
Je trouve votre commentaire tout aussi énigmatique que mon post. Mais je crois comprendre.
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