Pas mal d’Américains, ces derniers jours, trop nombreux pour être vrais. Ça va se terminer comme avec mes visiteurs de Singapour, juste une bulle de savon.
Je découvre en
revanche l’apparition d’un Portugais qui pourrait être authentique. C’est bon
signe, je me dis, mon public s’élargit. Assis sur la terrasse je regarde dans le noir (les journées commencent à se
raccourcir, ici) et je cherche à deviner où se trouve le Portugal. À ma droite, je crois,
derrière la montagne où se couche le soleil.
Salutations, professeur.
RépondreSupprimerJe lis en effet votre blog avec le plus grand interêt.
En matière de faune portugaise, je ne peux, quant à moi, parler que d’un chat noir et d’un siamois borgne, efflanqués et sympathiques chasseurs de lézards.
Pour tout vous dire, un garçonnet espiègle m’a parlé d’une chauve-souris dont je n’ai pas pu vérifier la présence.
Mais, ayant laissé paraître mon aversion pour cet animal. je le soupçonne de vouloir mettre à mal ma virilité.
Votre style ressemble drôlement à celui d'une personne que je connais (et qui est tout aussi portugaise que moi). J’ai de la sympathie pour vos deux chats de bande dessinée et j’apprécie votre neutralité dans la description de leur penchant pour la chasse. Face à cette passion virile (chez les félins elle ne concerne pas que les garçons à vrai dire, mais peu importe), d’autres proposeraient de les déconstruire. (Sergio Dalla Bernardina)
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